en cours de rédaction .. Cette analyse sera modifiée et réorganisée jusqu'à sa finalisation dans 1 à 2 semaines.
J'ai mis en ligne mon site le 06 VI 06 avec comme ligne éditoriale de dénoncer la prédation sur nos économies nationales, régionales et globales opérée par la financiarisation passant uniquement et impérativement au haut de la pyramide par la titrisation et l'algorithme unique et universel du bricolage sur le marché des crédits, un marché dit assurantiel mais qui n'est que de la spéculation qui n'a que comme seul objectif l'enrichissement décuplé, centuplé de ceux qui ont la capacité d'investir à l'aveugle en espérant des rendements à deux chiffres, voire jusqu'à 25% comme avec la Deutsche Bank du plus grand criminel financier de tous les temps, Joe Ackermann, au détriment complet des circuits économiques de création de valeurs par le travail, la cohésion sociale, l'investissement productif et durable. Dans cette seule catégorie, Économie de bulles, crises systémiques, subprime, j'ai écrit 209 analyses. Depuis 2008, je n'ai jamais cessé de montrer que toutes les banques systémiques, les too-big-to-fail, sont restées sans discontinuité en faillite technique malgré plus de € 17.000 milliards offerts gratuitement par la BCE aux banques, assurances et investisseurs institutionnels (les zin-zin) pour leurs racheter leurs toxiques pourris et irrécouvrables sans contrepartie, sans imposer contrôle et régulation des marchés financiers et en prorogeant les normes prudentielles Bâle III depuis 2008, tout en faisant raconter le contraire. Ce que les médias adorent répéter. A ces € 17.000 milliards de Helikopter Monney catapultés par la BCE en cadeaux pour sales et déloyaux services à tous ces zin-zin, se sont ajoutés au niveau de chaque État Membre de l'UE les milliers de milliards d'€ offerts tout aussi criminellement à ces zin-zin par les banques nationales, et les gouvernements eux-mêmes, en contrepartie d'un désengagement universel des États dans leurs tâches régaliennes, donc en vidant, asséchant, détruisant tous les services publics et en les privatisant, une fois bien démolis, à un prix de vente voisin de zéro. Mais aussi en offrant aux entreprises des milliers de milliards de cadeaux fiscaux, d'aide fiscales, d'abaissements ou d'annulations des cotisations sociales pour les entreprises, de destruction des systèmes sociaux, des systèmes de retraite, des normes sociales, du Code du Travail comme avec Sarkozy-Hollande-Macron1-Macron2. Ce "ruissellement vers le bas", ce déluge de ces dizaines de milliers d'€ de la BCE, des banques centrales, des budgets de l’État, se fait évidemment sous la contrainte des critères de Maastricht, à savoir de la conditionnalité de la démonétisation salariale globale, de la désindexation globale des salaires du privé comme du public, de la structuration par ubérisation du marché du travail, de la morcélisation du travail, et bien sûr avec les records historiques battus d'années en années du versement des dividendes aux actionnaires. La France est championne d'Europe du versement des dividendes aux actionnaires, et de la défiscalisation des grandes entreprises et de celles du CAC-40.